L’achat en ligne se développe de plus en plus de par le monde. Il offre l’avantage de pouvoir réaliser l’achat sans se déplacer. On peut acheter pratiquement tout en ligne actuellement.
Une structure et des moyens

Pour pouvoir participer à un achat en ligne, il faut évidemment disposer d’abord d’une structure, c’est-à-dire de la possibilité de connexion internet. Cela semble pratique dans certains pays, mais relève déjà du parcours de combattant pour d’autres. En effet, il y a des pays où l’internet est un luxe, accessible à ceux qui ont un pouvoir d’achat conséquent. Par ailleurs, même quand l’internet y est possible, il n’a pas suffisamment de débit pour permettre de discuter et avoir suffisamment de détails en vue d’un achat. Une communication fluide et bien organisée est donc indispensable pour développer le commerce en ligne.
En second lieu, l’achat en ligne nécessite une structure monétaire qui autorise le paiement en ligne. Cela est relativement facile dans le cadre du commerce intérieur, mais doit par contre être organisé au niveau des moyens de paiement internationaux.
Les freins et l’organisation

Il y a en effet une question de confiance entre opérateurs et clients, déjà dépassée dans beaucoup de pays mais d’actualité dans les pays qui commencent à installer le système. La question qui se pose est de savoir qui doit s’engager le premier, le vendeur ou l’acheteur ? Le vendeur hésite à risquer d’envoyer sa marchandise et de ne pas être payé en retour. En contrepartie, l’acheteur ne veut pas envoyer de l’argent et le perdre sans que la marchandise ne soit livrée. Il faut donc aussi une structure intermédiaire de garantie qui puisse rassurer les uns comme les autres. Cette structure peut être constituée par l’organisme de transport et de livraison lui-même pour éviter la multiplication d’intermédiaires qui va augmenter d’autant les coûts de transaction.
Par ailleurs, un achat en ligne à l’extérieur doit passer par la douane, avec ce que cela sous-entend par obligation de contrôle et de paiement










